[…] Nous sommes instinctivement enclins à fuir la souffrance, car la souffrance
cause le dégoût. Combien de visages défigurés par les afflictions de la vie viennent
nous rencontrer et trop souvent nous tournons notre regard vers l’autre côté.
Comment ne pas voir le visage du Seigneur dans celui des millions de réfugiés, de
réfugiés et de personnes déplacées qui fuient désespérément l’horreur des guerres,
des persécutions et des dictatures? Pour chacun d’eux, avec son visage
irremplaçable, Dieu se manifeste toujours comme un sauveur courageux. Comme
Veronica, la femme sans visage qui a séché avec amour le visage de Jésus. […]