[…] La crise est mondiale et il est par conséquent nécessaire de tourner notre
regard vers les convictions culturelles dominantes et les critères à travers lesquels
les personnes considèrent que quelque chose est bon ou mauvais, désirable ou non.
Seule une pensée vraiment ouverte peut affronter la crise et la compréhension de
là où va le monde, de la manière d’affronter les crises les plus complexes et
urgentes, la géopolitique, les défis de l’économie et la grave crise humanitaire liée
au drame des migrations, qui est le véritable nœud politique mondial de nos jours.
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