[…] Le bon Samaritain, lorsqu’il rencontra ce pauvre homme à moitié mort sur le bord de la route, ne lui fit pas de discours pour expliquer le sens de ce qui lui était arrivé, peut-être pour le convaincre qu’au fond c’était un bien pour lui. Le Samaritain, animé par la compassion , se pencha sur cet étranger, le traitant comme un frère et il prit soin de lui en faisant tout ce qui était en son pouvoir (cf. Lc 10, 25-37).
Ici, oui, nous pouvons peut-être trouver un «sens» à ce drame qu’est la pandémie, comme des autres fléaux qui frappent l’humanité: celui d’éveiller en nous la compassion et de provoquer des attitudes et des gestes de proximité, de soin, de solidarité, d’affection.
Nous pensons également avec gratitude aux administrateurs publics qui savent mettre en valeur toutes les bonnes ressources présentes dans la ville et sur le territoire, et qui sont détachés des intérêts privés et aussi de ceux de leur parti. […]