[…] Il existe de nombreuses organisations non gouvernementales et les
organismes de bienfaisance au sein de l’Eglise et à l’extérieur, dont les membres,
pendant les épidémies, les catastrophes ou les conflits armés, les difficultés et les
dangers du visage pour soigner les blessés et les malades et d’enterrer les morts. À
côté d’eux, je voudrais mentionner les personnes et les associations qui apportent
un soulagement aux migrants qui traversent des déserts et des mers croisées à la
recherche de meilleures conditions de vie. Ces actions sont des œuvres de
miséricorde corporelle et spirituelle, sur lesquelles nous serons jugés à la fin de
notre vie. […]
[…] Combien de familles, puis, au milieu des nombreux problèmes sociaux et du
travail, prendre des mesures concrètes pour éduquer leurs enfants « contre », au
prix de grands sacrifices, les valeurs de solidarité, de compassion et de fraternité!
Combien de familles ouvrent leur cœur et leur foyer à ceux qui en ont besoin, en
tant que réfugiés et migrants! Je tiens à remercier en particulier tous les individus,
les familles, les paroisses, les communautés religieuses, les monastères et les
sanctuaires, qui ont répondu rapidement à mon appel pour accueillir une famille de
réfugiés. […]
[…] Les Etats aussi sont appelés à des gestes concrets, à des actes de courage
envers les personnes les plus vulnérables de leurs sociétés, telles que les
prisonniers, les migrants, les chômeurs et les malades. […]
[…] En ce qui concerne les migrants, je voudrais adresser une invitation à repenser
la législation sur la migration, de sorte qu’ils sont animés par le désir d’accueillir,
dans les limites de leurs fonctions et responsabilités respectives, et faciliteront
l’intégration des migrants. Dans cette perspective, une attention particulière devrait
être accordée aux conditions de résidence des migrants, rappelant que
l’immigration clandestine risque de les entraîner vers la criminalité. […]